Wednesday, March 3


En fin, Godard. Un réalisateur de films mal compris. C’est une bêtise! Je reconnais qu’il y a plusieurs points de vue mais admettre que À bout de souffle est un example parfait de génialement cinématographique, ça, c’est une grande bêtise.

La nouvelle vague a été une nécessité envers notre développement dans ce domaine. Parce qu’elle nous présente nombreuses techniques affichées brutallement, sans retouches. Toutefois, les films sont mal fait. La mise en… écran est naïve et enfantin. Les scènes ne sont pas complètes, mais coupées brusquement pour réaliser un fiasco surréalist.

Ce film veut traiter l’amour et le sacrifice qu’elle implique, le monde de délinquants et l’efficience de la police française. Michel, un homme de rien, rend à Paris. Lors d’un contrôle de police, en route, il tue un policier. À Paris, il retrouve Patricia, une étudiante américaine laquelle il a une liaison amoureuse. Pendant le film, Michel essayera de la persuader de coucher avec lui. Mais elle le refuse en affirmant qu’elle ne l’aime pas vraiment. La police identifie l’assassin, c’est-à-dire Michel, et les commissaires et les détectives sont sur ses traces. Michel veut aller avec Patricia en Italie. Tant il est vrai que la petite Américaine a d’autres projets: elle désire devenir journaliste, elle dénonce Michel.

Le fin est incertain. Les derniers mots du Michel a provoqué une certaine confusion. Il dit c’est vraiment dégueulasse. À qui s’adresse ces mots? À la police? À Patricia? À la monde en général? Pourquoi Michel s’est résigné quand il apprend de sa dénonciation? La seule consolation qui reste est la certitude qu’il est mort avec la même indépendance qu’il a approuvé au cours de sa vie.

Il est possible que j’ai été un peu superficielle. Tant pis!

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